La mort d’un animal (l’homme est un animal) est traduite par la destruction de ces propres cellules et l’absence d’activité cérébrale. Ce cadeau empoisonné nous a été donné il y a plus de 2 milliards d’années lorsque les premières cellules vivantes apparurent. La survie d’une espèce doit son salut à ce que chacun de ses représentants naît, donne la vie à son tour, puis meurt.
Certains animaux ont une activité cellulaire et musculaire très importante. Par exemple, un lapin à un battement cardiaque a plus de 220 pulsations par minute. L’homme ayant un rythme de 80 pulsations par minute environ, le cœur de celui-ci se fatigue moins vite. Les tortues, par contre, ont un rythme de vie extrêmement ralenti. . La plus vieille tortue est morte à un age canonique de 150 ans. D’autres exemples, un chien vit jusqu’à une quinzaine d’années environ. Un éléphant, contrairement à la légende, vit entre 60 et 80 ans.
Il est possible également qu’il existe une sorte d’horloge interne qui ordonne aux cellules de mourir. Cet ordre est programmé dans les gènes de chacun des êtres vivants sur Terre, aussi bien animaux que plantes.
Il faut également tenir compte des nombreuses maladies, intoxications et accidents que les animaux ne connaissent pas ou peu : accidents de la route et domestiques, toxicomanie, alcoolisme, etc.