
Les vautours ont en effet un système digestif qui les met à l’abri des maladies véhiculées par la viande avariée. Leur estomac est très acide, avec un pH proche de 1, alors qu’il se situe entre 2,5 et 5 pour d’autres rapaces. Ces conditions extrêmes détruisent la plupart des bactéries et des virus.
Les scientifiques qualifient le vautour de "cul-de-sac épidémiologique".